Geneviève Sellier,
La Nouvelle Vague
Un cinéma au masculin singulier
« L’héritage principal de la Nouvelle Vague est donc aujourd’hui, pour le meilleur et pour le pire, le « cinéma d’auteur », dont l’existence dépend de ceux – critiques, professionnels, cinéphiles éclairés, institutionnels – qui ont le pouvoir de le désigner comme tel. » Au tournant des années 1960, la Nouvelle Vague inaugure une nouvelle façon de faire du cinéma : libération de la mise en scène, réalisme des dialogues, attention portée au montage… Ce mouvement se distingue en outre par sa critique politique de… → Lire la suite